Le destel, les cuves sans eau

Une sortie goupillée par : Eychenne Jean-Michel , Krikri et dégoupillée (à partir du/le)

Rentrée tranquille cette année, c’est par un graaand café que commence, bien au soleil, la balade du jour.

Ce jour, révision d’un joli tour vers les cuves du Destel, avec un passage au château d’Evenos, sur son piquou de Basalte. Et de révision il va en falloir : si on a bien trouvé de suite le bon vallon (mais... c’est pas trop difficile, il suffit de dépasser le "four à chaud"), ensuite cela se corse.

Le chemin remonte le fond de vallon. Il va falloir monter sur la gauche. Mais quel petit chemin ? On tente "bora bora", mais ce n’est pas le jour de prendre la pirogue. En insistant un peu, on trouve le bon accès reconnaissable à un arbre sur le bord, au tout début de la montée.

On passe un petit abri sous roche, tout roule. Plus haut... encore une hésitation et voila la moitié du groupe partie pour un exercice de sudation pré-prondiale, avec quelques acrobaties gymniques au passage du pin, qui barre en 2 le pierrier de la proprioception.

Après ces quelques aventures, les échelles qui nous montent dans le "boyau" qui traverse la montagne sont de la rigolade. Il est vrai que, depuis que l’on connaît cet itinéraire, les choses se sont bien améliorées... il n’y avait pas toutes ces marches à l’époque.

Après une ou 2 sorties de trous (le second est optionnel), nous arrivons à Evenos. Comme les touristes, on fait le tour du château, et on passe voir la crèche en outils métalliques à l’église. Et c’est à l’ombre de l’amendier du parking que l’on pic nic, bien au calme, pas de cigales, et pas de vent !

Après une bonne sieste, nous voici repartis pour le canion sec. Ca commence par de la franche bartasse, en fond de vallon la végétation s’en donne à coeur joie, et l’entretien du chemin laisse à désirer... Plus bas, le chemin existe à nouveau, et est copieusement bien équipé de cordes fixes (pas toutes de première jeunesse, il faut avouer). Arrivent ensuite les rappels, qui nous emmènent d’abord à un replat avec trou équipé (agave, chaise...), puis au fond du vallon, où l’on rejoint le Destel.

A ce point le programme se complique : quelques uns décident de remonter les cuves dans le cagnard, sans tout expliquer au groupe... c’est donc en ordre dispersé que se fait la remontée des cuves, qui sont bien vides d’eau et donc décevantes. A refaire.

Dans l’autre sens, quelques cuves sont pleines d’une eau un peu croupie... il faudra revenir quand l’eau aura été changée.

Crédit photos : Isabelle Prudhomme, Krikri, J. Cimolai, JM Eychenne

Portfolio

Une petite carte, si tout a été bien renseigné....